Le dernier des 66 livres composant la Bible est intitulé : L’Apocalypse. Ce mot est souvent associé à une série d’événements futurs, on ne peut pas imaginer plus dramatiques.
Extraits: Mais pour les lâches les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de souffre, ce qui est la seconde mort (Apocalypse 21.8).
Pourtant, une lecture sans a priori de l’Apocalypse annonce aussi des événements extrêmement heureux.
Extraits: J’entendis du trône une forte voix qui disait: Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes! Il habitera avec eux, et ils seront mon peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus; il n’y aura plus de deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu (Apocalypse 21.3-4).
L’autre jour, une jeune fille souriante, épanouie et très intelligente m’a dit calmement ceci : Ce n’est pas de la mort que j’ai peur mais de la vie. C’est dans cette vie que je peux me tromper… mais la mort sera le début d’une vie merveilleuse et je me réjouis d’y entrer.
D’où lui venaient cette sérénité et cette paix intérieure ? Tout simplement de sa soumission à Dieu, de la confiance en Lui et des promesses d’un bonheur inimaginable promis à celle et celui qui se tourne vers Dieu. Je précise, si besoin était, que cette jeune chrétienne a une formidable envie de vivre, de danser, de chanter. Elle va se former prochainement dans une profession qui répond à ses attentes et ses prières.
Fraternellement
Charles-André Geiser