Billet 12.19 – Dieu s’est manifesté dans ma vie

Cette phrase, très brève, a été prononcée dimanche dernier par un gars de 22 ans. J’avais le privilège de l’interviewer juste après son baptême dans un idyllique étang de notre région.

Déjà avant de naître, sa vie fut menacée en raison d’un horrible conflit armé dans le pays de ses parents. La fuite de sa maman fit qu’il vit en Suisse depuis sa naissance. Malheureusement tout ne se passa pas bien dans sa jeunesse. Il fit plein de choses que nos lois répriment et se trouva trop souvent face à la police. »J’avais besoin d’être redressé » fut l’expression qu’il nous confia. Ne connaissant ni la Bible ni le Dieu qu’elle nous révèle, des circonstances le poussèrent toutefois à détester les chrétiens et leurs services religieux. Mais peu à peu sans le chercher, il se retrouva face à des chrétiens qui lui manifestèrent de l’affection sous de multiples formes très concrètes.

Dernièrement, ce qui paraissait inimaginable se produisit dans sa vie. Encouragé par le leader d’un groupe de motards chrétiens, il adressa une prière sincère à ce Dieu encore inconnu de lui.

Etes-vous curieux de savoir la suite de son témoignage ?

En bref: » Dieu s’est manifesté dans ma vie. Je fus submergé d’une paix et d’une joie intérieure que je n’avais jamais connues. »

Et je n’exagère pas en vous affirmant que dimanche dernier, j’ai vu dans l’expression de son visage qu’il vivait en effet le début d’un cheminement spirituel extrêmement positif. Son rayonnement donna envie au quelque 130 personnes présentes de crier : Alléluia ! Des applaudissements jaillirent de toutes parts.

Ce récit actuel ne fait que confirmer la réalité d’une promesse inscrite dans la Bible:

Ne vous inquiétez de rien, mais en toute circonstance demandez à Dieu dans la prière ce dont vous avez besoin, et faites-le avec un coeur reconnaissant. Et la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que l’on peut imaginer, gardera vos coeurs et vos pensées en communion avec Jésus-Christ.

Philippiens 4.6-7.

Je ne peux que vous encourager à saisir cette promesse.

Fraternellement

Charles-André Geiser